Etoiles et toiles "de fond"

_(Lire le texte sur le ton de Frédéric Mitterrand):Né sous le signe du Lion et d’un ascendant virginal, issu d’une famille Mitterrandienne sous le signe posthume d’une dernière monarchie républicaine, notre cher Ministre de la culture, Frédéric Mitterrand, se voit inclus dans un gouvernement à l’allure mitigée, encombré d’affaires plus dignes des règlements de comptes que du sens politique. Est-ce une Maison XII forte à votre naissance(secret d’état et épreuves) qui vous a entraîné dans les destins tragiques de stars magnifiques, « Etoiles et toiles », et à présent dans ce destin gouvernemental où vous-même fûtes attaqué dans votre vie privée ?
Ou un De Villepin, poète politiquement brillant mais au rêve Rimbaldien qui flirte avec d’une affaire pas si « clear » que ça, suivie d’une affaire Woerth-Bettancourt où l’on cherche à faire avaler des couleuvres à l’opinion, pour mieux discréditer une réforme indispensable, pour une retraite dont Madame l’Oréal se fout bien, (d’ailleurs verra-t elle elle-même de son vivant la fin de cette mascarade hystérico-financière ?

Signant elle-même la fin de cycle d’un pouvoir qui a pris naissance 30 ans en arrière dans sa vie, elle commence un nouveau cycle en octobre 2010, et ce dernier symbolise peut-être la fin des abus économiques aux stock-options délirantes, récompenses accordées à des ronds de cuir sans efforts probants et dont les parachutes dorés ne sont que le reflet d’une société lancée à 2000 à l’heure sous les valeurs sombres des privilèges qui n’ont de sens que si on en assume pleinement les responsabilités. Mais l’histoire ne s’écrit-elle pas aussi finalement dans les astres, aux cycles vertigineux, dans un ballet de planètes aux influences magnétiques, qui aujourd’hui réclament bien plus qu’une simple réforme, mais bien plus une essentialisation radicale de nos valeurs humaines et un formatage de notre disque dur planétaire. Car à jouer de nos volontés infantiles et croire naïvement,du haut de notre promontoire « Darwinien », que nous sommes les seuls à décider, nous provoquons parfois des désastres.

Et dans désastres il y a « astres ». Bonsoir.